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Bienvenue dans l’univers de la stupidité
L’univers de la stupidité à la portée de tous Les recherches sur l’intelligence ont montré que le Quotient intellectuel (QI) constitue une bonne mesure des capacités cognitives d’un individu. On a également établi que si, depuis le début du XXe siècle, le QI a progressé dans au moins une trentaine de pays, il a commencé à décliner au milieu des années 1990 dans certains pays. Comme il n’existe pas de quotient de stupidité, il faut s’en remettre aux comportements stupides pour en saisir la teneur et l’ampleur. L’ouvrage, qui comprend seize chapitres de longueur inégale, devrait permettre au lecteur d’en avoir un aperçu dans plusieurs aspects de la vie, dont le quotidien, les publicités, la politique, l’éducation et même les sciences. Au fil des chapitres, le lecteur découvrira les facteurs susceptibles de favoriser l’émergence de comportements stupides. Le dernier chapitre porte, entre autres aspects, sur la manière de contrer la stupidité. Ce chapitre pourrait être utile à ceux qui font oeuvre d’éducation.
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Enjeux contemporains de gouvernance pour les sous-ministres du g...
Avec l’évolution de la société de nombreux enjeux de gouvernance apparaissent et plusieurs affectent la pratique du poste de sous-ministre, cheville relationnelle entre l’univers politique et celui de l’administration. En principe le sous-ministre conseille le ministre et le gouvernement et dirige le ministère. Les années Harper ont vu la poursuite de changements au fonctionnement des institutions, notamment le Conseil des ministres, le rôle des ministres et les cabinets ministériels et affecté le travail des sous-ministres. D’autres changements dans la société ont marqué les conditions d’opération: c’est le cas des think tanks, des médias sociaux et des groupes de pression. Tous affectent la pratique du poste de sous-ministre. À quelques occasions dans le passé nous avons pris le pouls de la communauté des sous-ministres au sujet de plusieurs aspects de la pratique de leurs rôles et au sujet de leurs environnements. Cet ouvrage a voulu explorer cette évolution en donnant la parole aux sous-ministres fédéraux du Canada en 2015, juste avant des élections dont nul ne pouvait prédire le résultat. L’ouvrage examine d’abord leur profil socio-professionnel : d’où viennent-ils? Demeurent-ils plus longtemps en poste? Jouissent-ils de plusieurs affectations? Les sous-ministres s’expriment sur leurs relations à la politique, leur participation à la conception des politiques, leur perception d’influence à cet égard et de manière plus générale, des facteurs d’influence sur les ministres des dernières années. Ils acceptent de partager leur sagesse à ces égards. Les interviewés traitent aussi de leur rôle de manager avec leur stratégie d’entrée en poste, leurs principes de gestion du temps et leur pratique de leadership en tant que sous-ministres de grandes organisations publiques. Les sous-ministres fédéraux de 2015 abordent enfin la question de leurs relations aux organismes centraux, de leurs rapports au Greffier et aux autres membres de la communauté des sous-ministres. Cet ouvrage permet des comparaisons avec des études similaires conduites durant les dernières années permettant d’apprécier l’évolution de leur situation
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L'idéologie du nazisme dans l'histoire de l'Allemagne
D'entrée de jeu, il faut condamner fermement toutes les formes de racisme, incluant l'antisémitisme, le nazisme et les autres idéologies comparables. Le racisme constitue certainement l'un des produits les plus laids de l'esprit humain et, à l'époque contemporaine, il a généré et soutenu plusieurs systèmes politiques oppressifs. Quant aux nazis, qui se sont appuyés sur une version modernisée et raciale de l'antisémitisme, ils ont conçu et commis d'horribles crimes contre l'humanité qu'il ne faudrait jamais oublier. Cela étant dit, les historiens et historiennes travaillent à reconstruire le passé, ce qui nécessite des efforts visant à décrire et à expliquer le fonctionnement de l'esprit humain dans des contextes sociaux et culturels spécifiques. À cet égard, il faut remarquer que les nazis ont émergé dans le cadre de l'environnement particulier qui prévalait à la fin de la Première Guerre mondiale et qui, de toute évidence, allait influencer profondément les idées radicales de droite. L'idéologie nazie est alors apparue comme une synthèse qui accentuait les tendances fortes d'une dérive culturelle et morale. D'une part, elle s'est présentée comme une forme modernisée de pensée politique, branchée sur le paradigme scientifique et sur la translation sociale de la connaissance biologique. D'autre part, elle a conçu l'Europe comme un champ d'application du colonialisme européen. L'idéologie nazie trouvait son expression pratique dans une éthique entièrement basée sur une anthropologie de la différence, jetant des barrières infranchissables entre les individus et les peuples, et sur une biologie qui pouvait tout justifier. En même temps, elle soutenait une activité frénétique visant à surmonter l'année 1918 et à rejouer la Grande Guerre, pour que celle-ci aboutisse enfin à une conclusion heureuse. Pour les nazis, cette frénésie était liée à l'urgence d'étendre l'espace vital de l'Allemagne et de régler la question juive.
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La communication internationale dans l’univers global des scienc...
Suivi d’un dialogue inédit avec l’ancien Directeur Général de l’UNESCO
Comment la communication internationale peut revendiquer une place de choix dans l’univers global des sciences sociales? Dans quelle mesure et jusqu’à quel point les objets qu’elle aborde, les enjeux sociétaux qu’elle adresse, interpellent-ils toutes les disciplines des sciences sociales? Comment démontrer sans effort son rattachement à la trajectoire historique que suivent les sciences sociales? Ce faisant, se verrait-elle dans l’obligation de devoir fixer un champ de délimitation dans l’univers global des sciences sociales? Comment harmoniser toutes les diversités discursives sur la communication internationale et rendre plus aisée la compréhension de cette matière pour tous ceux qui, principalement, enseignants, chercheurs et étudiants s’intéressent à cette sous-discipline ? Tâche herculéenne et mission quasi impossible ! Pourtant, c’est le défi que propose de relever cet ouvrage marqué par le souci de la clarté pédagogique et qui démontre, du début à la fin, qu’on ne peut nullement lier le qualificatif “internationale” au terme “communication”, sans problématiser. À travers neuf chapitres, traitant chacun, profondément, d’objets divers mais logiquement articulés, pointe aussi un parti-pris épistémique pour la méthode de l’interdisciplinarité que l’auteur ne s’emploie pas seulement à rappeler, mais dont il explique les fondements scientifiques. Au bout de l’ouvrage, s’amorce un dialogue inédit sur le déséquilibre mondial de l’information avec l’ancien Directeur Général de l’UNESCO, Amadou Mahtar Mbow, initiateur de la commission internationale sur les problèmes de la communication. Les débats sur le NOMIC (nouvel ordre mondial de l’information et de la communication) sont souvent relatés par des sources secondaires aux interprétations parfois contradictoires. Quoi de mieux, pour rendre service à la vérité scientifique, que d’interroger la source directe ?
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Le gouvernement municipal en questions
Qu’il soit dernier ou premier dans l’ordre des paliers publics, selon la façon de le percevoir, le système municipal de gouvernement est marqué par une très grande diversité et par une autonomie appréciable. Moins éclairé par l’action des médias qui s’y intéressent plutôt au cas par cas, il fait aussi figure de parent pauvre de la recherche universitaire, car les données fiables ne sont pas faciles à compiler sur plusieurs aspects de son fonctionnement. D’où l’intérêt, lorsque l’occasion se présente, de mieux le faire connaître, en fournissant au public un large aperçu introductif, marqué par des analyses et commentaires issus d’une longue expérience de terrain. C’est ce que fait dans ce livre l’auteur Pierre Prévost. Il a su cumuler des expériences professionnelles variées, de façon à relever ce défi, agissant tour à tour comme analyste, consultant, gestionnaire et enseignant dans le milieu municipal. Peu de faits et de tendances ayant influencé le milieu municipal lui ont échappé au cours des vingt-cinq dernières années, et il a su, lorsque requis, remonter le fil de l’Histoire pour comprendre d’où certaines situations tiraient leur origine. Il nous fournit ici une somme d’informations qui intéressera à la fois les étudiants universitaires, les praticiens et les observateurs du milieu municipal, lesquels seront sans doute heureux de constater que l’auteur fournit de nombreuses pistes de réflexion pour améliorer notre système municipal et lui permettre d’affronter les défis de la prochaine génération.
À partir de 24,95$
Les populismes d'hier à aujourd'hui
Les ambiguïtés d’une parole attribuée au peuple
Le populisme est un phénomène culturel et politique polysémique, qui revêt une importance considérable de nos jours. Mais il n’est pas nouveau, bien au contraire. On en retrace l’évolution à partir du XIXe siècle, alors qu’il s’est développé dans les contextes sociopolitiques par ailleurs différents de la Russie, de l’Allemagne, de la France et des États-Unis. Au XXe siècle, il a atteint des sommets à travers la genèse et le développement des fascismes. Mais s’il amarqué la pause dans les décennies qui ont suivi la conclusion de la Seconde Guerre mondiale, il est revenu en force lors des vingt dernières années, au cours desquelles il a pu prospérer grâce à une conjoncture redevenue favorable. À cet égard, on doit remarquer que le populisme a tendance à croître dans un contexte où se conjuguent différents phénomènes relatifs à ce qu’il est convenu d’appeler la « mondialisation » : exportation des capitaux et des emplois, précarité et incertitude, dissolution des identités culturelles, indifférence prétendue d’une classe politique coupée des « vrais problèmes », résurgence des nationalismes primaires, etc. Plusieurs questions cruciales surgissent alors : comment, de nos jours, les populismes de droite intègrent-ils les vieux préjugés charriés par l’anti-intellectualisme? Assistons-nous, comme certains le croient, à un retour des années 1930? Y a-t-il un rapport entre la montée des populismes et le durcissement de la rectitude politique? Si de nombreuses manifestations du populisme sont de toute évidence à droite, existe-t-il un populisme de gauche? Et qu’en est-il du Québec dans tout cela? Cet ouvrage collectif n’est au service d’aucun militantisme. À partir de la complémentarité des perspectives des sciences humaines et de la philosophie, il se propose d’analyser certaines facettes de l’univers complexe du populisme d’hier et d’aujourd’hui. Il réunit en ce sens plusieurs contributions inédites.
24,99$
Être un élu municipal, ça peut être génial!
Un guide pratique pour laisser sa marque
Les quelque 30 ans durant lesquels j'ai côtoyé des élus municipaux m'ont permis d'acquérir une bonne connaissance des personnes qui s'impliquent en politique municipale et des situations qui se produisent à la table du conseil (et en dehors). C'est dans le but de témoigner du respect que je porte à la fonction d'élu et au vu de l'importance grandissante du fait municipal dans notre société que ce livre a été produit. L'adage dit « Rome ne s'est pas faite en un jour »; cela s'applique au présent opuscule dans lequel j'invite les candidats et élus municipaux à considérer avec beaucoup de sérieux le mandat électoral qu'ils cherchent à obtenir ou à prolonger, et à bien saisir les différents rôles qu'un élu est appelé à jouer en cours de mandat. Il s'agit, en quelque sorte, d'une invitation au dépassement de soi au bénéfice de la collectivité.
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